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Accident de sauce Tomate

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Crash Parker
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MessageSujet: Accident de sauce Tomate Accident de sauce Tomate EmptyMer 31 Juil - 14:39



❝ Les Accidents De La Vie Sont Parfois Des Miracles ❞


Crash déambulait dans les rues de la Nouvelle Orléans une cigarette à la bouche et son téléphone dans l’autre main, il ne c’était pas couché après sa soirée mouvementée de la veille. Le matin même il c’était réveillé dans le lit d’une jeune femme qui ne lui disait rien, il en conclu qu’il avait trop bu et qu’il avait couché avec elle pour son plaisir. Dommage il ne restait de cette nuit aucuns souvenirs. Il cracha sa fumée de cigarette dans l’air, l’écrasa dans le cendrier. Il poussa rapidement et d’un coup sec  la devanture du supermarché, il était à présent à l’intérieur du magasin et ne savait pas réellement pourquoi il avait franchis la porte. Il n’avait pas spécialement besoin de courses, son frigo devait contenir encore assez de vivres pour finir la semaine. Il se contenta de marché dans les allés du magasin sans pour autant remplir ses mains d’aliments. Il alla jusqu’au rayon boisson et pris une canette de soda l’ouvrit et la bu d’une traite. Maintenant il savait ce qu’il venait faire dans ce magasin, avant d’écraser sa clope il avait eu une sensation désagréable dans la gorge alors en voyant la devanture il avait choisit d’aller se désaltérer plus ou moins et peut être prendre un petit encas histoire d’avoir quelque chose dans le ventre avant de finir les réparations dans sa boutique. Quand il pensa à sa boutique le souvenir de la belle brune a qui il avait vendu le chevalet lui vient en tête il fallait qu’il la voit à tout pris…

Crash tournait encore dans le magasin quand au détour d’un rayon il se fit rentrer dedans. Il était furieux, sa canette et son repas était à présent par terre, il ramassa ses provisions enfin du moins la nourriture, parce que pour la boisson il pouvait retourner en chercher une. Crash après un moment de déconcentration repris ses esprits et lâcha un vous ne pouvez pas faire gaffe ou vous allez bon sang. Habituellement il ne s’énerverait pas pour quelque chose d’aussi futile mais en regardant son tee-shirt il fut pris de colère et baissa la tête pour voir qui lui était rentré dedans. Il vérifia s’il n’était pas blessé tout de même, et il prit peur quand il vit une tâche rougeâtre sur son tee-shirt encore un délinquant qui poignarde les gens pour de l’argent. Crash secoua la tête en constatant une grosse odeur de sauce tomate provenant de la tâche sur son tee-shirt. Il venait de se faire tâcher par de la sauce tomate et il n’avait pas de tee-shirt de rechange à la boutique, remarque il pourrait toujours peindre torse nu… Crash porta enfin son attention sur la personne qui venait de créer cet accident, déjà il y avait du monde autours d’eux qui regardait la scène. Comment une personne pouvait être aussi maladroite ce demanda Crash, cette réflexion fut vite remplacer par une réflexion plus bestiales, Crash venait de voir qui lui avait cassé le pot de sauce tomate et il en était satisfait finalement même si la jeune fille semblait s’être coloré une partie des cheveux en rose, Crash n’aimait pas trop les colorations, décolorations et tous mais cette fois-ci il trouvait la jeune femme jolie. Cependant il était en colère. Furibond, il ne pu retenir la moindre parole qui allait sortir de sa bouche… Peut être aurait-il du.


« C’est quoi ça, un bisounours rose me rentre dedans, m’écrase un pot de sauce tomate…  Ne s’excuse pas en plus. Non mais avec ta maladresse ne sorts plus de chez toi. Ce n’est pas possible ça, je fais comment moi hein ? »
Autours de lui les passants avaient pris la sage décision de partir, Crash était en colère et il s’emportait encore et encore bien que ce ne soit qu’un pot de sauce tomate. Crash enleva son tee-shirt sous les yeux de la jeune femme, bien qu'elle soit belle, une handicapé comme elle n'avait aucun droit d'espérer toucher ce corps maintenant. La main vers une des étagères du supermarché Crash prit une nouvelle boite de sauce tomate, au début il avait pensé l'écraser sur la jeune femme comme elle avait pu le faire elle même quelques minutes plus tôt et après une petite réflexion de trois secondes Crash voulant s'excuser de lui avoir crier dessus il lui donna le pot de sauce. « J'espère que cette fois-ci vous n'allez pas le casser sur quelqu'un.»
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R. Blue-Ann Warren
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MessageSujet: Re: Accident de sauce Tomate Accident de sauce Tomate EmptyMar 6 Aoû - 15:50

Musique à fond, je déambule au sein de mon minuscule appartement ouvrant et fermant machinalement les placards, espérant dénicher un reste de céréales ou une barre chocolatée. Rien. Mes réserves sont aussi garnies qu’une ville venant de survivre ( plus ou moins bien ) à un mois de siège. Je penche la tête en arrière, me laisse tomber dans mon lit/sofa en lâchant un long soupir. Damn it. Je crève de faim mais la simple idée de faire un court séjour à l’extérieur m’ennuie : il parait que c’est un symptôme de la flemme. De l’extrême flemme qui me colle à la peau depuis la veille. Je finis par me relever, jette un coup d’œil sur le mur de la cuisine pour savoir ce que je dois acheter – la liste de course y est inscrite à la craie. J’hoche la tête, tente de mémoriser le tout avant d’enfiler un t-shirt à l’effigie de Jim Hendrix et une paire de Doc Martens. Roses, les Doc Martens, en toute logique. Je claque la porte de l’appartement en sortant, remarquant que j’en ai oublié d’éteindre l’ordi portable qui crache le son de Nirvana – tant mieux, tant pis : je tente d’inculquer une culture musicale à mes voisins. S’ils éprouvent le moindre mécontentement, qu’ils viennent m’en toucher deux mots … plus tard.

Je passe les portes d’un magasin cheap du vieux carré français ayant dans l’idée de faire un tour à la boutique de l’Oncle Caleb avec les quelques courses grappillées. Le vigile me dévisage du coin de l’œil alors que je passe les portiques d’entrées – l’alarme ne manque pas de sonner. Je grimace, le type accourt vers moi sans me laisser le temps d’expliquer : je viens seulement d’entrer, je n’ai rien à voler. Je tape du pied, le laisse déblatérer quelques instants avant d’ouvrir mon gilet sous ses yeux.
- J’ai rien d’une terroriste, passe-moi seulement une paire de ciseau - oh !
Le vigile m’empoigne par le bras, m’amène vers l’accueil. L’étiquette fautive se retrouve sur le comptoir en deux secondes. Les bras vers le ciel, je repasse de nouveau le portique sans sonner cette fois-ci, me retiens de lui faire un doigt, tourne sur moi-même pour lui montrer que je n’ai rien à cacher. Avec ça, avec cette connerie, j’en ai oublié ce que je suis venue acheter, me contente de zoner dans les différentes allées. Flemme étant de retourner vers les caisses pour récolter un chariot, j’envisage de ne récupérer que peu de nourriture. Un paquet de céréales : check. Un pot de beurre de cacahouète : check. Un kilogramme de carottes : check. Les articles s’accumulent entre mes bras, forment une pyramide légèrement bancale dont le trône est occupé par un pot de sauce tomate. Sans me vanter, je fais les meilleurs spaghettis bolognaises du coin – vegan, les spaghettis, je n’ai toujours pas compris comment cuire la viande à la perfection. Lentement, je continue mon chemin, attrape un paquet de tortillas et tourne dans le prochain rayon en rasant les étagères. Trop rapide, le tournant. J’écrase, m’écrase entièrement, contre quelqu’un. Maladroitement, je rattrape quelques provisions qui se font la malle alors que, de l’autre côté, les dommages sont présents : plus de canettes et de repas pour le jeune homme. La voix de Jayden, mon frère, me résonne alors aux oreilles. La conduite ou la vraie vie, du pareil au même, je ne vérifie pas avant de tourner – encore moins l’angle mort. J’en rigole légèrement, relève la tête vers le type, remarque la tâche rouge. Celle sur son t-shirt et celle qui s’étend peu à peu sur ses joues – relax, max, take it easy.

Je jongle d’une jambe sur l’autre, prête à m’excuser. Mais le mec, là, n’a pas l’air de cet avis – j’hésite à en rire, à présent. Il fulmine ; quelques clients s’amassent autour de nous comme des vautours en mal de sensations fortes ou de choses croustillantes à se mettre sous la dent.
- C’est quoi ça, un bisounours rose me rentre dedans, m’écrase un pot de sauce tomate… Ne s’excuse pas en plus. Non mais avec ta maladresse ne sorts plus de chez toi. Ce n’est pas possible ça, je fais comment moi hein ?
J’hausse les épaules pour toute réponse, pinçant les lèvres pour ne pas rire face à cette réaction si … extrême. Le voilà qu’il enlève son haut, se retrouve torse-nu au sein de l’établissement avant de s’emparer d’une autre boîte et de me la tendre. Ahem …WTF ? J’arque un sourcil, secoue mes épaules pour lui indiquer que je ne peux pas la prendre – au pire, qu’il la dépose au sommet de la pyramide.
- J'espère que cette fois-ci vous n'allez pas le casser sur quelqu'un.
- J’pense que garder ton haut … ç’aurait été mieux. J’veux dire, c’est comme un attentat à la pudeur, contrairement à New-York où où c’est autorisé. Même les femmes peuvent faire du topless dans la rue depuis 1992, m’a indiqué ma radio l’autre jour entre deux trois crépitements. Mais les mots se sont éteints dans ma bouche, lentement. Et puis, j’avais des tortillas. Je penche la tête vers mon stock de nourriture, souffle sur une mèche qui me barre le visage avec d’attraper avec les dents le paquet en question. T’chois ? Ch’penche que chaurait été pas ch’mal achec Je crache le paquet un peu plus loin, pose finalement – ce que j’aurais dû faire au début – les provisions sur une étagères à moitié vide. - Tu peux m’appeler Groschérie même si, sérieux, je trouve que les bisounours : ça fait réellement pédophile. Mais si tu veux, je m’excuse en leur nom. On est quitte, alors ? Je penche la tête sur le côté, lâche finalement ce rire qui me tient les tripes depuis quelques minutes. Allez, chéri, on est aux Etats-Unis – tout est permis.
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Crash Parker
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MessageSujet: Re: Accident de sauce Tomate Accident de sauce Tomate EmptyMer 14 Aoû - 18:16



❝ Les Accidents De La Vie Sont Parfois Des Miracles ❞


Crash ne put s’empêcher de rire, cette fille avait une sacrée répartie et c’est ce qu’il aimait par-dessus tout. Cela faisait un bon moment qu’il n’avait pas rencontré une fille dans ce genre là. Une fille extravagante qui semblait être intelligente et qui en plus était plutôt bandante. Il remarqua sa pile de courses et il se demandait bien pourquoi elle n’avait pas pris les paniers que les supermarchés mettaient en libre service devant l’entrée, il était toujours autant en colère contre la demoiselle et il savait que si elle avait pris un de ces paniers il n’y aurait pas eu d’accident de sauce tomate et Crash ne serait par torse nu dans un supermarché avec des femmes, jeunes ou vielles qui se rinçaient l’œil, il était étonné que la jeune femme qui l’avait enduit de sauce tomate ne sourcil même pas à son torse de rêve. Bien qu’elle lui ai apprit que c’était un attentat à la pudeur d’être torse nu, bien que qu’elle pudeur ? Il suffisait de voir comment on regardait Crash pour dire qu’il apportait du bonheur aux femmes, enfin du moins c’est ce qu’il pensait. Il remarqua que la jeune femme était toujours auprès de lui, elle attendait sans doute une réponse et Crash lui voulait en savoir un peu plus sur la jeune femme. « Non nous ne sommes pas quittes. Qui sait peut-être que je suis pédophile, bon là normalement tu te barre en courant ! J’ai perdu un tee-shirt et toi qu’a tu perdus dans cette histoire ? » Crash ferait tout pour en savoir plus sur elle « Crash Parker, prénom à chier mais j’emmerde le bisounours c’est clair ? »

Bien qu’il ai perdu un tee-shirt Crash était heureux, il venait de rencontrer quelqu’un qui semblait avoir une personnalité. Il en était bien content, il n’avait pas beaucoup d’amis à la Nouvelle Orléans enfin comme dans le reste du monde… Crash fut perturbé par une jeune blonde qui passa devant eux, elle avait de beaux attributs et Crash ne pu s’empêcher de le remarquer, il en bava presque mais très vite son attention fut reporté sur la jeune femme qui avait causé sa perte. « Quoi, c’est aussi un attentat à la pudeur ? »Il prit une partie des courses de la jeune femme « Tu me dois un tee-shirt, je t’aide pour tes courses et tu m’en offre un nouveau. Oui je sais je pourrais te demander de me le laver mais autant que tu m’offre un cadeau non ? et en plus tu pourrais me faire quelque chose a manger. ». Crash était du genre profiteur et il avait bien mérité au moins un nouveau tee-shirt pour la perte instantanée du sien et un dîner pour la gène occasionnée.

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MessageSujet: Re: Accident de sauce Tomate Accident de sauce Tomate EmptyMer 16 Oct - 14:37

Ne rien prendre au sérieux : certainement une constante warrenienne qui me colle à la peau, s’incruste comme un lyctus dans un meuble en bois tropical et ne disparait pas même en tapant de toutes ses forces avec une tapette à tapis. Le mec, lui, se trouve toujours à rigoler – j’ai la vague impression qu’il hésite entre être carrément hilare et montrer son mécontentement, conneries. La vie ne se limite pas à la propreté d’un tee-shirt (au pire, pour ça, Vanish et ses dérivés font des merveilles) et si rencontrer de nouvelles têtes s’effectuent à coups de « rentre-dedans » non malsains : je suis prête à refaire un tour de rayon.
- Non nous ne sommes pas quittes. Qui sait peut-être que je suis pédophile, bon là normalement tu te barre en courant ! D’un signe de tête sur la gauche, j’indique le côté qui me paraît opportun pour la fuite : le gauche. Loin d’être une décision fondée sur l’intuition, c’est le seul côté envisageable. J’ai perdu un tee-shirt et toi, qu’as-tu perdu dans cette histoire ? Cette fois-ci, je penche la tête de l’autre côté, fais mine de réfléchir – moue boudeuse à l’appui, comme toutes ces mannequins anorexiques qui foutent des images d’idéal à la con dans les cerveaux préformés et influençables de tous ces teenagers. L’idée me parvient d’un coup, mon esprit s’éclaire et, à peu de chose près, je pourrai m’écrier Euréka !, l’image d’une ampoule qui s’allume au-dessus de ma tête.
- Ca. De l’index, j’indique les résidus de pâte rouge sur le sol. Et sur son menton. A moi d’effectuer un pas en avant et d’effacer la bavure d’un coup de pouce. Fidèle à mes habitudes parfois rustres, je donne un coup de langue sur mon pouce – même froide, la bolognaise a du goût. Mais, mais, ce n’est certainement pas là où je veux en venir. Mon sérieux. L’information peut sembler tomber du ciel – mais les faits sont là. Ce que j’ai perdu dans l’histoire, c’est bien mon sérieux. Pourtant, tout avait si bien débuté… Mal à l’aise, je tire sur mon tee-shirt déjà déformé à l’effigie de Jimi Hendrix avant de passer une main dans mes cheveux – roses et rebelles.

- Crash Parker, prénom à chier mais j’emmerde le bisounours c’est clair ? Encore une fois, je me surprends à hausser les épaules. Crash – c’est pas si mauvais comme prénom. C’est juste le résultat d’une collision, comme deux mondes qui se percutent. Comme deux êtres qui se rentrent dedans et foutent en l’air les rayons d’un magasin. Oé, finalement, son prénom était fait pour qu’on se rencontre. J’en ricane à l’idée. Lui, il suit des yeux une blonde qui passe dans le coin. Je tends le cou vers la douce créature, suit son déhanché du coin de l’œil – pas de quoi en faire une histoire. Du bout de mes Doc Martens, je frôle les chaussures de monsieur afin de le ramener parmi nous.
- Quoi, c’est aussi un attentat à la pudeur ? Laisse moi réfléchir deux instants, gamins.
- Oé ! Pas de oui tout en puissance, juste un de circonstances. La demoiselle disparait finalement dans un autre rayon – tiens donc, celui des barres hypocaloriques et hyper-protéinées. C’est comme partir à la pêche avec ton grand-père avec de la mie-de-pain et non des appâts de qualité. Tu peux regarder mais t’auras rien à échange sinon une interdiction de circuler à moins de 6 mètres L’information est lâchée, compacte et indigeste. Je n’ai jamais été forte pour les phrases à deux balles – plutôt pour les réflexions sibyllines qui ne faisaient de sens pour personne (sinon moi, déjà ça).

Le voilà qui fait main mise sur mes courses ; j’entrouvre la bouche pour lâcher une interdiction – merci bien, je sais encore me débrouiller. - Tu me dois un tee-shirt, je t’aide pour tes courses et tu m’en offre un nouveau. Oui je sais je pourrais te demander de me le laver mais autant que tu m’offre un cadeau non ? Je secoue la tête, éclate de rire.
- T’as de l’assurance petit. Mais ça n’marche pas comme ça. Je viens de débarquer à la Nouvelle-Orléans, quelques sous en poche et une boutique dans mes bras.
- Et en plus tu pourrais me faire quelque chose à manger. Ben voyons… Mon sourire s’élargit, se complait avec le rire de tantôt. Lui sur les talons, je repars dans le rayon des sauces et y récupère un pot de sauce tomate. Promis juré, cette fois-ci, je fais attention. Les surgelés apparaissent ensuite devant nous – j’effectue un regard espiègle vers l’homme de nous deux. Tiendra-t-il ou ne tiendra-t-il pas le coup face aux températures… frileuses. J’ouvre un compartiment, récupère deux pizzas et les lui secoue sous le nez.
- La seule chose que je peux t’offrir, c’est une pâte gonflée par les bienfaits d’un four électrique. Et à défaut de tee-shirt neuf, j’en ai un comme ça trop grand que je peux te passer. Mais le coco s’appelle revient. T’en es ? Que je sache si je dois reposer une pizza ou les mettre au sommet de la pile, bien contre ta poitrine.
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