nom • collins. prénom • abigaïl. âge • 34 ans. ville de naissance • manchester. statut social • fiancée. orientation sexuelle • hétérosexuelle. . métier/étude • psycologue. classe sociale • aisée, fille de lord. ta petite particularité • un accent anglais très prononcé. une addiction très forte à la nicotine et au café. groupe • fontainebleau caractère • douce. intelligente. professionnelle. attentive. souriante. rassurante.
derrière l'écran
Prénom ? Océane. • Pseudo ? Je préfère qu'on m'appelle par mon prénom • Age ? J'aurais 22 ans vendredi, maintenant que la question a été posé, je veux un gâteau. • Tu viens d'où ? Amiens. • Où tu as connu le forum ? Je vous stalke depuis l'ouverture. • Ton avis sur le forum ? J'vais découvrir tout ça en temps et en heure. • Un truc à dire pour la fin ? Pour ceux que j'aurais marqué. - pas grand monde je pense. Je jouais Aloïsia sur GT.
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[b]Rachel Weisz[/b] ▴Abigaël Collins
FICHE PAR ROMANE MODIFIÉE PAR MACKLEMORE
Dernière édition par Abigaïl Collins le Ven 23 Aoû - 19:59, édité 7 fois
C’est la même sensation que celle de sortir d’un cauchemar pour se retrouver dans un autre lorsque j’ouvre les yeux. Je peine à croire que je suis réveillée tant la situation m’effraie. Je ne discerne rien de ce qui m’entoure. Le noir est complet et l’écho de mes mouvements qui me reviennent m’indique que je suis dans une pièce fermée. Je suis attachée. Incapable du moindre mouvement. De toute façon, comprendre où je suis serait certainement la meilleure chose à faire avant de tenter de sortir d’ici. Je met beaucoup de temps à comprendre. Probablement parce que je suis encore dans les vapes. Mon dernier souvenir remonte à plusieurs heures, voir plusieurs. J’ignore tout de l’heure qu’il doit être. Je suis hors de l’espace-temps. Combien de temps s’est écoulé depuis que je suis ici ? Je l’ignore. Ce que je comprend, c’est juste que j’ai été enlevé pour être enfermée dans cet endroit tout noir.
Le temps file. J’ai cherché à me dégager de mes liens mais comme je ne vois rien, je me suis vite rendu à l’évidence que je n‘y arriverais pas et que probablement, je mourrais enfermée ici de faim et de soif. Le temps file et bizarrement, je me suis vite faite à cette idée. Celle de mourir ici. Je suis un peu déroutée par cette prise de conscience mais avant tout, j’essaie de mettre de l’ordre dans mes pensées. C’est idiot le nombre de question que l’on peut se poser dans ce genre de situation. Est-ce qu’on me retrouvera déjà ? Est ce que mes parents viendront aux Etats-Unis ? Ou bien, feront-ils venir ma dépouille jusqu’en Angleterre pour que je repose dans le caveau familial ? Tout dépendra de l‘état de décomposition sûrement. Seront-ils triste ou se serviront-ils de cette tragédie pour attirer la sympathie de leur entourage ? Puis, que dira Adam ? Se sentira t-il coupable ? Ou bien, est ce qu’il rebondira de lui même comme un grand ? ( ou bien sur une autre femme ) Puis, qui va me regretter ? La question qu’on ose à peine poser quand on sait que personne ne vous pleurera vraiment.
Plusieurs regrets font leur apparitions quand on se dit qu’on va mourir. C’est peut-être ça qu’on appelle “ avoir la vie qui défile devant ses yeux “. Sur le coup, je me rappelle de toutes les choses que j’ai faite puis regretté. Le jour où j’ai poussé ma soeur dans les escaliers pour faire accuser les chiens de mon père dont ma mère l’a forcé à se débarasser. Je voulais qu’il s’occupe plus de nous que de la chasse à court. Le jour où à l’école, je n’ai pas osé dénoncer un camarade que j’appréciais et qu’un autre a pris une correction à sa place. Je n’en ai pas dormi pendant des jours. Puis, il y’a eu le jour où j’ai dit à mes parents que je les haïssais et que je partirais loin d’eux quand j’aurais l’âge. Malgré leur égoïsme, j’ai certainement brisé quelque chose. Je regrette le jour où je suis partie étudier aux Etats-Unis. Je n’ai pas revu mon Angleterre depuis. Puis, la pire des bêtise : le jour où j’ai abandonné mon enfant à l’adoption.
C’était il y’a plusieurs années. Je venais d’arriver à Harvard. Les choses s’étaient enchaînée de sorte qu’à la fin de ma première année, j’allais en cour avec un ventre bien rond que je cachais à tout le monde. Je regrette également de n’en avoir jamais parlé à mes parents. Peut-être m’auraient-ils soutenu ? Peut-être que j’aurais le garder ? J’ai toujours été une femme de raison. Jamais je ne me serais emporté dans une quelconque aventure sans y réflechir avant. Avoir un enfant signifiait s’en occuper. Arrêter les études donc. Travailler pour 8 $ de l’heure dans un fast-food. Dire adieu à l’argent des parents. Vivre dans un deux pièces pour le reste de ma vie. Peut-être qu’on aurait été heureux. Peut-être n’est pas une certitude. Alors pour notre bien, j’ai choisi de nous séparer et avant de me retrouver là, ligotée dans le noir. Je n’avais jamais regretté cette décision. J’ai fini mes études. J’ai voyagé. J’ai rencontré Adam. J’ai aidé beaucoup de personnes. Et lui - ou elle - a eu certainement une belle enfance et ne se préoccupe aujourd’hui que de qui l’accompagnera au bal de fin d’année. Seulement voilà, sans cette horrible décision. J’aurais eu quelqu’un pour me regretter et se souvenir de moi. Je suis égoïste. Finalement, c’est peut-être mieux que mon enfant ne perde pas sa mère de cette façon.
Le cheminement de mes idées m’emmène vers la paix. Je suppose que je devrais ajouter à la liste de mes regrets celui de ne pas avoir assez profité d’Adam pendant qu’il était encore temps. Je n’aurais pas du passé autant de temps auprès de mes patients mais auprès de lui. J’aurais eu le temps de lui demander de m’épouser. On aurait été heureux. On aurait arrêté cette relation sans label qui ne mène nulle part. Puis je relativise, au moins, Adam ne sera pas veuf et l’histoire de la copine sequestrée et retrouvée morte lui attirera la sympathie de la gente féminine. Ou bien, l’intéret des policiers si l’on arrête pas le coupable. Mais je ne m’inquiète pas. Le temps continue de passer et je m’inquiète moins. Voir plus du tout. C’est apaisée que j’entend un bruit. Une porte lourde qui s’ouvre. Une silhouette qui apparait. Une voix qui fait son chemin jusqu’à moi. Une voix connue. C’est un patient. Un ancien patient de l’hopital.
( … )
Je compte les jours. A chacune de ses visites, je sais qu’un jour s’écoule. J’aurais voulu laisser traîner des indices qui indiquerait que c’est ce patient précis qui m’a emmené ici. Mais non, je suis encore trop consciencieuse et le secret professionnel importe au point que tout est scellé. Il est déjà venu me voir quatre fois. Cela doit donc faire quatre jours que je suis là, avec le même rituel. Il veut parler. Que je l’aide. Au point où nous en sommes, je pense que se rendre à la police serait le meilleur moyen de s’aider mais quatre jours ne seront pas suffisant pour le convaincre. Je marche sur des oeufs. Au mot de trop, je pourrais très bien finir en poussière. Je me suis faite une promesse à moi même hier. Si je sors de là, alors je devrais quitter mon emploi à l’hôpital psychiatrique. Je devrais quitter la ville voir l’Etat. J’ouvrirais un cabinet indépendant et Adam me suivra. Puis, on se fiancera, enfin.
( … )
Je suis en mouvement. Non, je ne bouge pas moi même. Oui, je suis encore ligotée. Tout est toujours noir mais je suis ailleurs. On dirait le coffre d’une voiture. J’entend les accélérations. Il roule bien trop vite. Je pense que deux semaines se sont passées depuis l’enlèvement. J’ai dit le mot de trop. J’ai parlé de la police. J’ai dit que je l’aiderais même en prison. Il m’a drogué à nouveau et je m’éveille là. Il roule bien trop vite. J’entend les sirènes de police. J’ignore si c’est pour moi ou bien pour la vitesse. J’aimerais crier mais je ne peux pas. Là encore, je dois attendre la suite d’évènement. *Je me suis faite à la mort alors la panique ne me gagne pas. Du moins, pas autant que l’on aurait cru. J’essaie de me figurer la situation, puis c’est le trou noir.
( … )
La lumière est forte lorsque je m’éveille. Je n’ai pas vu le soleil depuis si longtemps qu’il m’aveugle même derrière les rideaux. L'environnement est blanc et calme, seulement le bip de la machine se fait entendre. Adam dort sur le fauteuil. Ce que je fais à l’hôpital, je l’ignore. Le fin mot de l’histoire ne tombera pas du ciel immédiatement. Mais qu’importe. Je vais vivre. Je vais partir d’ici. Je vais épouser Adam. Je vais rencontrer mon bébé.
FICHE PAR ROMANE MODIFIÉE PAR MACKLEMORE
Dernière édition par Abigaïl Collins le Ven 23 Aoû - 19:07, édité 7 fois
Aloïsia ou Aloysia ( oé, la question qui tue ! ). GRR, ce scena est tip-top ; fais en quelque chose de bien ( ou comment ne pas donner le choix, ah ). Bonne chance ! x)
AH OUI! TOI! Welcome welcome! Contente de te revoir parmi-nous! (Chris, Steven, Kaleigh). Si jamais il y a quoi que ce soit, n'Hésite pas..et..holala quel choix de fou comme scénario!
Invité
Invité
Sujet: Re: wind of changes Ven 16 Aoû - 14:10
OMFGGG mais en plus c'est toi O.O my gosh !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Je suis encore plusse plusse plusse heureuse la, tu peux même paqs uimaginer !! *va quand même regarder ou elle met les pieds pour pas se faire ecraser par une voiture en traversant* chui tellement contente de te revoir ici, et plusssssss encore avec Abi d'amour ** you, girl, made my day ! :heart;
Moi, oui J'suis ravie de voir que j'ai au moins un piti peu marqué les esprits. Merci à tous pour votre accueil.
Joy > Oui, c'est moi (a) En plus, c'est longtemps après que j'ai compris que j'avais pris ton scéna. - au moins comme ça, je sais que je regretterais pas - Ton engouement fait plaisir en plus Bref, je te mp asap pour voir les détails.
Je suis le maître de mon destin, le capitaine de mon âme◦ messages : 69 ◦ réputation : 20 ◦ date d'inscription : 14/07/2013 ◦ crédits : KNL◦ âge : 27 ans
Sujet: Re: wind of changes Sam 17 Aoû - 17:44
Bienvenuuue
Crash Parker
Tell them I was happy And my heart is broken, All my scars are open
voilà voilà, je sais que j'ai été HYPER LONGUE --' mais voilà, j'ai fini ma fiche. j'suis pas fan du résultat mais si je continu de pinailler, j'vais être supprimée. ça sera dommage nan ?
Invité
Invité
Sujet: Re: wind of changes Ven 23 Aoû - 21:54
Si je m'attendais à pareille fiche ! C'est absolument parfait, j'adore, je vénère, j'aime j'aime j'aime, et je te (pré, mais on s'en fiche du pré) valide ma chère je vais fouetter les admins qu'ils aillent t'ajouter à ton groupe, mais tu peux commencer à flooder, faire tes fiches de liens, de rps, et surtout... t'occuper de Wesley -et je ne t'aurais pas laissée être supprimée, krkrkr...-
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Sujet: Re: wind of changes
wind of changes
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